Massimo Ferrero, le président de la Sampdoria de Gênes est un habitué des écueils médiatiques.
On peut être président d’un club professionnel italien et avoir un sérieux problème de communication. Découvrez Massimo Ferrero, le président de la Sampdoria Gênes.
Le sexisme après le racisme
Massimo Ferrero était quelque peu frustré après le match nul de son équipe contre le Genoa. Dans le derby de Gênes, les deux équipes se sont séparées sur un score nul et vierge. Interrogé en direct à la télévision, il a prouvé qu’il ne faut pas laisser un micro entre toutes les mains. Il analysait alors la rencontre en essayant de défendre son entraîneur.
Outre un entraîneur, il est une bonne personne et un grand travailleur. Il passe 12h (par jour) à se casser la tête de questions pour des joueurs qui, quand ils voient la balle, ne la mettent pas dedans. Mais la balle est comme une femme, elle doit être pénétrée !
Une personne dotée d’une grande classe, vous l’aurez compris. A noter qu’en 2014, il avait déjà été poursuivi pour des propos qui étaient cette fois plutôt teintés de racisme que de sexisme. Interrogé sur Erick Thohir, le président philippin de l’Inter, il avait alors déclaré :
Chasse ce Philippin, mais tu l’as pris pour quoi faire ?
On attend la prochaine impatiemment.
