Le 30 janvier dernier, Jonathann Daval avouait avoir tué sa femme, Alexia. Sa belle-famille qui lui a toujours fait confiance est bien évidemment effondrée. Mais sa propre famille est également sous le choc.
Jonathann Daval, le veuf éploré a fait tomber le masque, le 30 janvier dernier, en avouant le meurtre de sa femme Alexia. Et si la famille de la jeune femme est bien sûr plongée dans l’horreur, celle du présumé coupable ne comprend pas beaucoup plus ce qu’il lui arrive…
Après la mise en examen de son fils pour «meurtre sur conjoint», la mère de Jonathann Daval, accompagnée de l’un de ses autres enfants, s’était déjà confiée à BFMTV.
[Alexia] faisait partie de notre famille. C’est une perte très dure qu’on a subie. On comprend leur douleur, les interrogations qu’ils peuvent avoir.
Révélait-elle alors.
L’incompréhension règne du côté de la famille Daval
Plusieurs jours plus tard, la peine est d’autant plus immense pour cette mère d’une famille nombreuse.
J’ai eu mes sept enfants à la suite. Ils jouaient ensemble, ça n’a pas été si difficile. Mon petit Jonathann, j’aurais jamais cru…
A glissé Martine Daval, la mère du jeune homme, avant de refermer sa porte au nez des journalistes de Paris Match.
Sous le choc, peinée, elle ne peut se confier davantage à la presse.
Pourtant, du côté de la famille de la victime, les langues se délient. Thibault Fouillot, un cousin, a raconté à propos de Jonathann Daval, à L’Est Républicain :
C’est un personnage assez lisse, effacé, peu communicant. Il parle très peu de lui et de sa vie […]. Il est un peu comme un fantôme […]. En dix ans, je n’ai jamais eu d’histoires avec lui, mais jamais envie de partager quoi que ce soit non plus.
Et d’après Paris Match, la mère d’Alexia a une fois fait une remarque lourde de sens.
Isabelle Fouillot aurait dit un jour de son gendre : « C’est le choix d’Alexia, on l’a accepté, on l’a adopté. »
Peut-on lire dans les colonnes du magazine.
Jonathann Daval n’a peut-être pas encore livré tous ses secrets. Il nie par exemple avoir brûlé le corps de sa femme. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
