Faites-vous ces erreurs lorsque vous vous entraînez ?

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On a tous déjà eu ce moment de fierté après une séance intense, le genre de séance qui te fait dire « là, j’ai tout donné ». Sauf que parfois, à trop vouloir en faire, on flirte sans le savoir avec des erreurs qui, mises bout à bout, ruinent les progrès et fatiguent les articulations plus qu’elles ne les renforcent. Et si on prenait deux minutes pour repenser sa routine ?

 

Le mythe du « je démarre direct sinon je perds du temps »

 

Combien de fois on zappe l’échauffement sous prétexte qu’on est pressé ou qu’on s’estime déjà chaud après avoir grimpé les escaliers du métro ? Résultat ? muscles raides, articulations mal préparées et un corps qui entre dans l’effort sans être prêt. C’est comme lancer un moteur à froid en plein hiver.

 

Un bon échauffement ne prend pas une éternité. Dix minutes de mouvements dynamiques suffisent pour envoyer le signal au corps qu’il va falloir bosser, en douceur. C’est aussi ça qui prépare les articulations à encaisser les chocs, en évitant de les solliciter à sec.

 

Charger trop lourd trop vite c’est pas du progrès c’est de la précipitation

 

L’envie de progresser, on l’a tous. Mais ce n’est pas une raison pour coller 20 kilos de plus sur la barre chaque semaine. Le corps a besoin de temps pour s’adapter. Si la charge augmente plus vite que la capacité réelle du muscle ou de l’articulation à la gérer, ce n’est pas le muscle qui lâchera en premier.

 

Ce genre de progression sauvage, ça fatigue les tendons, ça écrase les cartilages et au final, c’est le genou, l’épaule ou la hanche qui te rappellera à l’ordre. Un vrai travail de fond respecte une montée progressive, avec des phases de repos bien calées et une technique propre. Et côté prévention il n’est pas rare que certains sportifs misent aussi sur un apport régulier en collagène de type II  pour soutenir le confort articulaire à long terme sans avoir à freiner leur cadence.

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Ignorer la douleur comme si c’était un badge d’honneur

 

Il y a une différence énorme entre avoir les jambes lourdes après un sprint et sentir un point vif au genou dès les premières flexions. Et pourtant, combien de fois on entend “c’est normal, c’est le sport” ? Non, ce n’est pas normal, c’est un signal.

 

Continuer malgré une douleur articulaire, même légère, c’est comme marcher avec une pierre dans la chaussure en se disant qu’elle finira bien par disparaître. Elle ne disparaît pas, elle laisse juste plus de dégâts. Savoir lever le pied, adapter les mouvements ou remplacer un exercice, c’est pas être faible, c’est être malin.

 

Prendre soin de ses articulations c’est pas que pour les seniors

 

L’erreur la plus fréquente, c’est de penser que la santé articulaire concerne seulement ceux qui ont passé la cinquantaine. Faux. À 25 ans déjà, si t’enchaînes les entraînements intensifs sans jamais penser à la récupération, t’es tout autant concerné. L’usure articulaire ne prévient pas, elle s’installe doucement.

 

Penser prévention, c’est adopter de bonnes habitudes dès maintenant. Bien dormir, varier les efforts, intégrer des jours off, travailler la mobilité… Et aussi pourquoi pas s’intéresser à certains apports nutritionnels qui soutiennent les tissus articulaires quand la charge monte, sans attendre d’avoir mal pour agir.

 

David
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